Le cinéma gore, extrême et underground dans toute sa diversité

Les cinéphiles qui n'ont pas froid aux yeux emprunteront sans peur un détour vers les plaines de l'interdit. Ici se trouve le plaisir de ressentir le vertige de l'effroi en partant à la recherche des vestiges de l'horreur, celle qui ne cherche pas forcément à correspondre aux standards du langage cinématographique, celle qui se conforte sur un terrain où aucun cahier des charges ne prend en compte une éventuelle censure de contenu.

Dans cette grande traversée sinistre et sordide, les films extrêmes défient les lois de la morale pour transgresser les limites de l'éthique du septième art. 

Ici, la lueur du rouge phosphorescent guide les passionnés vers la vallée des spectacles sanguinolents orchestrés par le vice d'un théâtre transcendant.

Fais ce que tu voudras sera le tout de la Loi.

Aucun art ne peut être considéré comme tel s'il est incapable de repousser les limites de l'art.

Du splatter gratiné chez Shock Entertainment

Dans les contrées lointaines du cinéma underground exclu des académies insipides et aseptisées, nous pouvons dégoter les trésors du gore et de l'horreur extrême qui non seulement rajoutent de la saveur à nos séances de visionnage, mais qui obscurcissent également nos collections de DVD/VHS aussi bien qu'ils les illuminent d'un enchantement hautement cauchemardesque.

Joy of violence

Le mauvais goût n'aura jamais été aussi succulent en cette sélection de films de performance trash et excrémentielle.

L'art du trash : le foyer focal de la matière fécale.